9 octobre 2010

Castro Caldelas à Ourense, 58 km, 640 mètres

Castro Caldelas à Ourense, 58 km, 640 mètres

9 octobre

Difficile de se lever et de partir ce matin. Premièrement, le soleil se lève qu’à 8 :35 et deuxièmement, il fait gris et ils annoncent de la pluie ce matin. Mais, pas de vent, c’est au moins ça de gagnez. Nous prenons le petit déjeuner au lit en écoutant les bandes dessinées du samedi matin. Tweety bird et bugs bunny sont toujours aussi drôle. Mais, si nous voulons arriver à la mer, il faut partir. Nous remettons toute nos choses dans nos sacoches, qui, pour une raison inexpliquée, ont toujours tendance a déversées tout leur contenu dès qu’on rentre dans une chambre d’hôtel. Et, quand finalement nous sommes fin prêt à partir, la pluie commence!
De Castro à Ourense 2010-10-09

Pour la première fois, nous sortons le gros kit : Couvre-casque et chaussure, gant à vaisselle, pantalon. Nous ne serons pas mouillés par la pluie mais, par notre chaleur qui a de la misère à être évacuée. Quelques kilomètres plus loin, toujours dans des montées de fou, le soleil pointe timidement son nez. Nous commençons à nous dévêtir. Ensuite, le premier col de la journée est fait, nous sommes à 900 mètres. Une petite descente et une dernière montée. Nous sommes arrivés au sommet, 950 mètres. Il ne reste qu’à descendre dans la vallée, que nous voyons très bien du sommet. La vue est très belle même si elle ressemble beaucoup à la vue que nous avions au sommet du Rioja. Et pour descendre, nous descendons, quasiment 25 km, jusqu’à la ville d’Ourense, où nous prévoyons nous arrêter 2-3 jours. En descendant nous passons dans un parc ou il y a des vestiges de la vie Romaine, il y a plus de 2000 ans. 

De Castro à Ourense 2010-10-09


Arrivés à Ourense, nous spottons le McDo et nous nous y rendons pour y faire un peu d’internet et du Skype. Aussi, nous notons des adresses de pensions pas chères et pas loin du centre-ville. Ce sera parfait. Sauf que, sans le savoir, c’est le festival du film à Ourense et que tout est complet. Il est 18 :30 et nous prenons la décision de partir de la ville, nous trouverons sûrement un endroit où poser notre tente… Heureusement, à la sortie de la ville, nous voyons un hôtel. Pas super bien situé, il y a le train et l’autoroute qui passe devant et en bas de notre chambre il y a un bar! Pour une nuit, ça ira. Nous cuisinons notre souper sur le balcon, planifions notre route pour le lendemain et réparons le matelas de Louis. Nous sommes prêts pour du camping, sauf qu’on a plus de bouffe et que demain c’est dimanche. 

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