Une ville propre au Maroc
31 janvier et 1er février
De retour sur la N1 avec certaines inquiétudes. Va-t-il y avoir un accotement ou non? Et la réponse est oui, il y a un accotement qui commence quelques kilomètres plus loin que Larache. Nous pouvons donc rouler sans stress. La route grimpe passablement à travers les verts vallons. Les montagnes du Rif se dessinent au loin. Le ciel est bleu par endroit et noir d'orage ailleurs. Allons-nous réussir à nous rendre à Asilah sans nous faire mouiller? C'est ce que nous verrons. Au sommet de la montée, le vent vient nous donner un bon coup de main et fait grimper notre vitesse de croisière. Notre odomètre franchît les 6000km, nous avons fait à date 2354km au Maroc. Quelle réussite!
De Larache à Assilah 2011-02-01 |
Arrivés à Asilah nous nous empressons de trouver un hôtel, le temps est vraiment menaçant. Par chance, le premier hôtel convient. Du balcon de notre chambre Louis me dit de me dépêcher, la pluie commence. Les vélos sont à peine rentrés que la pluie et la grêle tombent fortement. Fiou!
Il est temps d'aller manger. Le proprio de l'hôtel nous suggère un resto. Nous mangeons une salade mixte et un tajine gargantuesque, contenant un poulet complet, que nous avalons avec grand plaisir. L'appétit du cyclotouriste est sans limite. Où est la pâtisserie mon amour?
Le lendemain, petite marche dans l'ancienne médina. Celle-ci, comparativement aux autres médinas que nous ayons vues, est d'une propreté exemplaire et a peu de magasins. Il y a surtout de belles riads d'un blanc immaculé.
Certains des murs sont recouverts de belles peintures murales. Notre petite marche se poursuit jusqu'à la plage d'Assilah. Une belle plage qui malheureusement a beaucoup de détritus. Vraiment, si le Maroc veut devenir une destination voyage incontournable, il va falloir qu'il commence à ramasser les vidanges qui jonchent les routes, les plages, les cours d'eau et tout terrain vague. Un travail énorme de conscientisation sociale est obligatoire.
De Larache à Assilah 2011-02-01 |
Certains des murs sont recouverts de belles peintures murales. Notre petite marche se poursuit jusqu'à la plage d'Assilah. Une belle plage qui malheureusement a beaucoup de détritus. Vraiment, si le Maroc veut devenir une destination voyage incontournable, il va falloir qu'il commence à ramasser les vidanges qui jonchent les routes, les plages, les cours d'eau et tout terrain vague. Un travail énorme de conscientisation sociale est obligatoire.
J'pense que c'est le temps de monter au nord et d'aller faire un tour en Europe. Les nouvelles ici de l'Afrique du Nord c'est pas terrible.
RépondreEffacerMarco, qui n'a pas le temps d'ici la mi-mars de jouer à Chuck Norris.
FELICIDADES POR ESOS 6.000 KM.....
RépondreEffacerCONGRATULATIONS ¡¡¡¡
Manuel - Huelva (Spain)