Vive le vent
23 janvier
Samedi matin, rendez-vous des clubs cyclistes sur la route entre Casablanca et Rabat. Nous croisons plusieurs pelotons. Ils travaillent fort pour couper le vent qui souffle en pleine figure. De notre côté, le vent est favorable et nous avalons les bornes rapidement. Plus nous approchons de Rabat plus la route devient achalandée. Nous remarquons que ce sont des voitures beaucoup plus luxueuses qui circulent. Rabat est la capitale administrative et Casablanca est la capitale économique. Ce qui explique la richesse des villages balnéaires entre les deux villes séparées d'à peine 60 km. Une légère pluie à l'arrivée de Rabat nous donne un arc-en-ciel spectaculaire sur fond de mer turquoise.
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| De Talil à Rabat 2011-01-23 |
Commence maintenant la recherche d'un hôtel. Nous rentrons dans la médina avec nos vélos chargés. Les rues sont bondées de gens, nous sommes dimanche et tous les gens en profitent pour se promener dans la médina. Avec détermination nous nous frayons un chemin à travers la foule. Ça joue serré des fois, il faut prendre notre place sinon, nous n'avancerions pas. Après cinq minutes de marche, nous voici dans le quartier des hôtels. Le premier est un vrai trou, le deuxième trop cher, le troisième complet et le quatrième est correct. La chambre est un peu petite et un peu bruyante mais, pour deux jours ça fera. Notre première expérience au restaurant s'avère un succès. Nous mangeons un excellent couscous pour, encore une fois, un prix dérisoire. Nous avons tellement bien mangé, que nous sommes retournés pour le souper!
Nos premières impressions de Rabat sont bonnes, la ville est beaucoup plus propre que ce que nous avons vu ailleurs. À l'extérieur des murs, une grande ville moderne que nous visiterons demain. Les commerçants dans la médina ne portent aucun intérêt particulier aux touristes.
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