Bienvenue en Turquie
2,3 et 4 avril
À notre grande surprise, nous roulons sur la Via Egnitia qui relie Durrès à Istambul, c'est une route qui date de plus 2000 ans! Elle fût empruntée par Alexandre le Grand lors de ses conquêtes. Ça donne des frissons de penser que bien des gens y ont circulé avant nous. Sous un ciel gris nous arrivons à Alexandroupoli, dernière grande ville avant la frontière turque. Vu que nous avons des conditions extraordinaires au camping municipal, douche chaude et internet, nous décidons d'y passer une journée de plus. Surtout que le lendemain à notre réveil, il pleuvait. La journée se passe sur Internet à mettre à jour notre site, faire notre demande de visa Iranien et envoyer des demandes de warmshower pour Istambul. Nous partons donc lundi matin pour la Turquie. La route n'a rien d'intéressant et, en plus nous avons un méchant vent de face qui nous empêche d'avancer à une vitesse normale.
Le passage de la frontière s'est très bien passé. Ça nous coûte cher de visa, 60$ canadien, pour un visa de trois mois. Plus cher que n'importe quel autre pays qui paie en général, 20$ canadien. Il ne suffit que de se présenter au guichet et de présenter notre passeport. Il appose un timbre-visa et voilà, le tour est joué. Nous prenons des photos avec les militaires turcs qui nous accueillent les bras grands ouverts dans leur pays ''Welcom to Turkey''.
Nous arrêtons dans le premier petit village, Ipsala, où nous allons coucher chez Yavuz, un autre membre warmshower. Vu qu'il est tôt et que le village est minuscule, nous allons nous asseoir dans la grand place. Nous sommes l'attraction du village. Tous les gens nous saluent, les enfants viennent nous poser des questions. À un certain moment donné, un type, Evren, s'approche de nous avec deux thés à la main. C'est pour nous? Oui, oui, bienvenue en Turquie. Nous avions entendu parler de l'hospitalité des Turcs et, dès notre arrivée nous y goûtons. Que nous réserve les prochaines semaines?
En début de soirée, Yavuz arrive. Nous montons jusque chez lui. Il reste dans un minuscule appartement mais, son grand cœur et son hospitalité nous permettent d'oublier ce simple détail. Yavuz est très impliqué dans la cause cycliste en Turquie. Il réussit, malgré tout à gagner des adeptes à chaque année.
2,3 et 4 avril
À notre grande surprise, nous roulons sur la Via Egnitia qui relie Durrès à Istambul, c'est une route qui date de plus 2000 ans! Elle fût empruntée par Alexandre le Grand lors de ses conquêtes. Ça donne des frissons de penser que bien des gens y ont circulé avant nous. Sous un ciel gris nous arrivons à Alexandroupoli, dernière grande ville avant la frontière turque. Vu que nous avons des conditions extraordinaires au camping municipal, douche chaude et internet, nous décidons d'y passer une journée de plus. Surtout que le lendemain à notre réveil, il pleuvait. La journée se passe sur Internet à mettre à jour notre site, faire notre demande de visa Iranien et envoyer des demandes de warmshower pour Istambul. Nous partons donc lundi matin pour la Turquie. La route n'a rien d'intéressant et, en plus nous avons un méchant vent de face qui nous empêche d'avancer à une vitesse normale.
Le passage de la frontière s'est très bien passé. Ça nous coûte cher de visa, 60$ canadien, pour un visa de trois mois. Plus cher que n'importe quel autre pays qui paie en général, 20$ canadien. Il ne suffit que de se présenter au guichet et de présenter notre passeport. Il appose un timbre-visa et voilà, le tour est joué. Nous prenons des photos avec les militaires turcs qui nous accueillent les bras grands ouverts dans leur pays ''Welcom to Turkey''.
Nous arrêtons dans le premier petit village, Ipsala, où nous allons coucher chez Yavuz, un autre membre warmshower. Vu qu'il est tôt et que le village est minuscule, nous allons nous asseoir dans la grand place. Nous sommes l'attraction du village. Tous les gens nous saluent, les enfants viennent nous poser des questions. À un certain moment donné, un type, Evren, s'approche de nous avec deux thés à la main. C'est pour nous? Oui, oui, bienvenue en Turquie. Nous avions entendu parler de l'hospitalité des Turcs et, dès notre arrivée nous y goûtons. Que nous réserve les prochaines semaines?
En début de soirée, Yavuz arrive. Nous montons jusque chez lui. Il reste dans un minuscule appartement mais, son grand cœur et son hospitalité nous permettent d'oublier ce simple détail. Yavuz est très impliqué dans la cause cycliste en Turquie. Il réussit, malgré tout à gagner des adeptes à chaque année.
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